
Le soleil s'infiltre par mes paupières lourdes,
Comme l'eau coulant par la fente d'une gourde,
La patte des criquets gratte leur ventre rond,
Mélodie se mélangeant aux différents sons.
Dans la fine senteur des fragrances d'été,
J'inhale abondamment la douceur de l'air frais.
Et me laisse porter par des idées futiles,
Comme voyager ou avoir une vie facile.
Il faut avouer que rêver peut être bon,
Mais pour avancer il faut garder sa raison,
Je laisse la rêverie au nobles poètes,
En abandonnant ici tout rêve en quête.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire